Mieux prendre en compte les attentes du consommateur final (et pas seulement celles du distributeur), communiquer de façon plus marquante, explorer le marché pour les crémants : telles sont les recommandations d’une étude portant sur les vins français au Royaume-Uni.
Si de nombreuses incertitudes demeurent face aux conditions douanières après-Brexit, les habitants du Royaume-Uni demeurent consommateurs de vin. Il est même devenu la boisson préférée des femmes : la consommation moyenne de vin s’établit à 20 l/an/hab. Elle reste stable ces dernières années, malgré la forte hausse des taxes et une sensibilisation à une moindre consommation.
Les vins français sont présents sur la plupart des circuits outre-Manche, mais ils subissent une érosion de leurs parts de marché.
Pour tenter d’enrayer ce phénomène, une étude sur le positionnement et les attentes vis-à-vis des vins français a été réalisée à la demande du Cniv et de FranceAgriMer.