Le marché chinois entre dans une nouvelle phase de son développement et exigera progressivement une plus grande finesse dans l’approche marketing. Les Australiens sont en train de préparer le terrain pour en récolter les fruits.
Imaginez la scène : les clients d’un grand restaurant parisien écoutent attentivement le sommelier qui se lance dans sa présentation en évoquant…des arômes de fruit du dragon, de carambole, d’aubépine séchée, de pomme de jacque ou encore de longane. Autant dire, du chinois pour un public occidental. Et pourtant, les consommateurs chinois doivent composer avec un vocabulaire tout aussi inapproprié et peu évocateur depuis qu’ils se sont mis à boire du vin à l’occidental. D’où l’idée d’un groupe de chercheurs australiens, avec le soutien de l’Australian Wine & Grape Authority et du gouvernement fédéral, de définir un lexique établissant des parallèles entre les termes couramment utilisés à l’Ouest, et les équivalences chinoises.
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vitisphère 16/12/2016 | Stratégie export australienne : Trouver les mots justes pour séduire les Chinois